Ici, la nature est métaphore : branches, fleurs, bourgeons et racines deviennent langage poétique. Elle raconte la fragilité et la beauté de la vie, la promesse du renouveau et la lumière de la croissance. Le regard se cache ou s’éclaire parmi les pétales, les arbres se transforment en soleils, le calice devient sève. Ces œuvres célèbrent une nature qui, loin d’être décorative, parle de nous : de nos renaissances, de notre foi, et de l’élan vital qui nous traverse.