Là, on explore l’univers des formes, des rythmes et des équilibres. Les carrés, les lignes et les couleurs se répondent comme une partition mathématique. Parfois, ces structures évoquent la ville et son agitation ; parfois, elles traduisent le désordre intérieur de la maladie. Ici, l’abstraction devient langage universel : un jeu d’ordre et de chaos, où chacun peut projeter ses propres images et ressentis.